Rebelle tendance tourmentée, la Bella de Twilight vampirise le box-office avec son visage d’ange. Rockeuse glam dans Les Runaways ou prostituée SDF dans Welcome to The Rileys, cette antistar n’a peur de rien. Attention, talent.
1. PARCE QU’ELLE DÉTRÔNE TOUTES LES AUTRES TEENAGE STARS
À 21 ans, Kristen a déjà un C. V. de douairière et l’air blasé de celle qui a tout vu en ce bas monde. Les ados rêvent de lui ressembler et dupliquent son look gothique et son allure coolissime. Une vingtaine de films, des débuts à 12 ans dans Panic Room, bon présage : tout lui sourit. En conséquence, elle ne montre jamais les dents. Contrairement aux sémillantes Anne Hathaway ou Emma Watson, baby stars prometteuses, Kristen a compris qu’un état d’esprit désenchanté et un style less is more lui permettraient d’atteindre les sommets du box-office. Astucieux.
2 – PARCE QU’ELLE EST UNE FASHION GIRL DÉCALÉE
Ses intuitions vestimentaires sont suivies par des milliers de fans tétanisées. Elle ne suit pas la mode, puisque c’est elle qui lance les tendances. Un jour rappeuse chic avec sweat à capuche, le lendemain pom-pom girl régressive en minishort en jean et marcel framboise, elle sait se montrer à une soirée du MET en sexy robe du soir noire à filets SM, qui fera beaucoup jaser. Ses yeux fardés où l’eye-liner bave en cernes sur les paupières inférieures, façon fin de party, semblent avoir inspiré les maquilleurs de podium. Entre la punk attitude et le revival années 50, miss Stewart annexe tous les registres. Vertigineux.
3- PARCE QUE SA VIE PRIVÉE EST SECRET-DÉFENSE
Kristen possède un joker quand on l’interroge sur ses love stories. Elle évoque l’acteur Michael Angarano, assez inconnu au bataillon, avec qui elle formerait un couple sans histoire. En réalité, on ne les aperçoit jamais ensemble. Mais tout le monde sait qu’entre elle et Robert Pattinson, son partenaire dans la saga Twilight, l’affaire est torride. Récemment, au talk-show d’Oprah Winfrey, le vampire hype lâcha, pince-sans-rire, que Kristen était enceinte de lui. Du lard ou du cochon ? Toujours est-il que leur complicité, leur mimétisme et leur accord charnel ont été constatés par tous ceux qui les ont approchés. Sur le plateau de Twilight, ces deux-là s’entretiennent en tête à tête bien après le « cut ». Ils aiment la musique acoustique, jouent ensemble de la guitare, et plus si affinités…
4- PARCE QUE MERYL STREEP EST SON MODÈLE
Elle ne veut pas devenir Marilyn ni Madonna. Non, l’ambitieuse petite dame admire Meryl Streep, celle qui passe de l’univers de Virginia Woolf à celui de William Styron sans effets spéciaux, par la seule grâce de son talent. Du coup, elle se fiche de se montrer négligée, enlaidie, vieillie ou en loques. Dans son dernier opus, Welcome to The Rileys, un road-movie indépendant, elle campe avec une sensibilité saisissante et sans make-up le rôle d’une sans-abri qui se prostitue pour survivre. Fragile, vulnérable, petite silhouette perdue, elle fait preuve d’une formidable crédibilité. Cette ambitieuse vise un oscar… et pourrait bien l’obtenir.
5- PARCE QU’ELLE EST NATURELLEMENT TRASH
Kristen n’a pas besoin de forcer la note. Son univers mental est rimbaldien, tendance Velvet Underground. Elle taquine la guitare sèche, compose, rédige un journal intime où le spleen tient la vedette et elle affectionne les grands tourmentés de la littérature américaine, de Henry Miller à Norman Mailer. Dans Into The Wild, Sean Penn lui offre une partition de petite hippie triste à la Joni Mitchell. Et sa composition de la très déjantée Joan Jett, icône rock, dans Les Runaways confirme la piste dark. Elle rêve d’écrire un jour un roman, et rien ne l’empêchera de passer à l’acte.
6- PARCE QU’ELLE DÉNONCE LE STAR-SYSTÈME
Elle est tombée dans la marmite arty quand elle était petite. Née à Los Angeles d’un père producteur à la Fox et d’une mère scénariste, Kristen a toujours eu la vocation. Elle aime jouer. Ce qui lui pèse, c’est le service après-vente. En interview, elle a l’air d’être en garde à vue, esquive toutes les questions et finit systématiquement par confier qu’elle n’est pas spécialement fière de ce qu’elle a accompli. Insatisfaite, cérébrale et introvertie, son aversion pour les paparazzis (qui, en effet, ne la lâchent pas) la conduit à adopter une Garbo attitude qui pourrait la desservir à long terme.
7- PARCE QU’ELLE FAIT DES CHOIX AUDACIEUX
Pour la jeunesse planétaire, elle incarne l’idéal romantique d’une génération : l’humaine trop humaine Bella Swan amoureuse d’un dandy vampire de 104 ans. Mais Stewart veut déglinguer son image lisse. Alors que le chapitre IV, Révélation, va clore la saga crépusculaire, elle opte déjà pour des scripts périlleux et des contre-emplois casse-gueule. La rencontre professionnelle déterminante a eu lieu quand Sean Penn en personne lui demanda d’incarner un petit rôle dans Into The Wild. Elle parle d’une révélation, d’un déclic. Le bad boy du cinéma d’auteur est tout aussi élogieux quand il évoque sa performance. C’est dans ce registre marginal qu’elle entend imprimer son style. Le must ? Elle est Marylou dans l’adaptation cinématographique du roman culte de la Beat Generation. Sur la route de Jack Kerouac, c’est Kristen qui conduit !
8- PARCE QU’ELLE N’EST PAS ADDICT À LA GLOIRE
Dans une société qui vibre sur Facebook, s’enivre de gossip sur la Toile et de miniscandales, Kristen est une atypique : elle semble appartenir à une autre époque. La notoriété ? Elle s’en fout. Paranoïaque, inspirée, dark et anticonformiste, même si elle connaît suffisamment les codes 2010 pour les déjouer. Cette petite lady a tout compris des jeux de rôle de la nouvelle aristocratie hollywoodienne, celle des antistars.
Source: madame.lefigaro
Via: twilightquebec
Ses intuitions vestimentaires sont suivies par des milliers de fans tétanisées. Elle ne suit pas la mode, puisque c’est elle qui lance les tendances. Un jour rappeuse chic avec sweat à capuche, le lendemain pom-pom girl régressive en minishort en jean et marcel framboise, elle sait se montrer à une soirée du MET en sexy robe du soir noire à filets SM, qui fera beaucoup jaser. Ses yeux fardés où l’eye-liner bave en cernes sur les paupières inférieures, façon fin de party, semblent avoir inspiré les maquilleurs de podium. Entre la punk attitude et le revival années 50, miss Stewart annexe tous les registres. Vertigineux.
3- PARCE QUE SA VIE PRIVÉE EST SECRET-DÉFENSE
Kristen possède un joker quand on l’interroge sur ses love stories. Elle évoque l’acteur Michael Angarano, assez inconnu au bataillon, avec qui elle formerait un couple sans histoire. En réalité, on ne les aperçoit jamais ensemble. Mais tout le monde sait qu’entre elle et Robert Pattinson, son partenaire dans la saga Twilight, l’affaire est torride. Récemment, au talk-show d’Oprah Winfrey, le vampire hype lâcha, pince-sans-rire, que Kristen était enceinte de lui. Du lard ou du cochon ? Toujours est-il que leur complicité, leur mimétisme et leur accord charnel ont été constatés par tous ceux qui les ont approchés. Sur le plateau de Twilight, ces deux-là s’entretiennent en tête à tête bien après le « cut ». Ils aiment la musique acoustique, jouent ensemble de la guitare, et plus si affinités…
4- PARCE QUE MERYL STREEP EST SON MODÈLE
Elle ne veut pas devenir Marilyn ni Madonna. Non, l’ambitieuse petite dame admire Meryl Streep, celle qui passe de l’univers de Virginia Woolf à celui de William Styron sans effets spéciaux, par la seule grâce de son talent. Du coup, elle se fiche de se montrer négligée, enlaidie, vieillie ou en loques. Dans son dernier opus, Welcome to The Rileys, un road-movie indépendant, elle campe avec une sensibilité saisissante et sans make-up le rôle d’une sans-abri qui se prostitue pour survivre. Fragile, vulnérable, petite silhouette perdue, elle fait preuve d’une formidable crédibilité. Cette ambitieuse vise un oscar… et pourrait bien l’obtenir.
5- PARCE QU’ELLE EST NATURELLEMENT TRASH
Kristen n’a pas besoin de forcer la note. Son univers mental est rimbaldien, tendance Velvet Underground. Elle taquine la guitare sèche, compose, rédige un journal intime où le spleen tient la vedette et elle affectionne les grands tourmentés de la littérature américaine, de Henry Miller à Norman Mailer. Dans Into The Wild, Sean Penn lui offre une partition de petite hippie triste à la Joni Mitchell. Et sa composition de la très déjantée Joan Jett, icône rock, dans Les Runaways confirme la piste dark. Elle rêve d’écrire un jour un roman, et rien ne l’empêchera de passer à l’acte.
6- PARCE QU’ELLE DÉNONCE LE STAR-SYSTÈME
Elle est tombée dans la marmite arty quand elle était petite. Née à Los Angeles d’un père producteur à la Fox et d’une mère scénariste, Kristen a toujours eu la vocation. Elle aime jouer. Ce qui lui pèse, c’est le service après-vente. En interview, elle a l’air d’être en garde à vue, esquive toutes les questions et finit systématiquement par confier qu’elle n’est pas spécialement fière de ce qu’elle a accompli. Insatisfaite, cérébrale et introvertie, son aversion pour les paparazzis (qui, en effet, ne la lâchent pas) la conduit à adopter une Garbo attitude qui pourrait la desservir à long terme.
7- PARCE QU’ELLE FAIT DES CHOIX AUDACIEUX
Pour la jeunesse planétaire, elle incarne l’idéal romantique d’une génération : l’humaine trop humaine Bella Swan amoureuse d’un dandy vampire de 104 ans. Mais Stewart veut déglinguer son image lisse. Alors que le chapitre IV, Révélation, va clore la saga crépusculaire, elle opte déjà pour des scripts périlleux et des contre-emplois casse-gueule. La rencontre professionnelle déterminante a eu lieu quand Sean Penn en personne lui demanda d’incarner un petit rôle dans Into The Wild. Elle parle d’une révélation, d’un déclic. Le bad boy du cinéma d’auteur est tout aussi élogieux quand il évoque sa performance. C’est dans ce registre marginal qu’elle entend imprimer son style. Le must ? Elle est Marylou dans l’adaptation cinématographique du roman culte de la Beat Generation. Sur la route de Jack Kerouac, c’est Kristen qui conduit !
8- PARCE QU’ELLE N’EST PAS ADDICT À LA GLOIRE
Dans une société qui vibre sur Facebook, s’enivre de gossip sur la Toile et de miniscandales, Kristen est une atypique : elle semble appartenir à une autre époque. La notoriété ? Elle s’en fout. Paranoïaque, inspirée, dark et anticonformiste, même si elle connaît suffisamment les codes 2010 pour les déjouer. Cette petite lady a tout compris des jeux de rôle de la nouvelle aristocratie hollywoodienne, celle des antistars.
Source: madame.lefigaro
Via: twilightquebec
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire